And I'm busting up my brains for the words. Il n'y a rien qui sort. Il n'y aurait que des cris mais ils sont prématurés. Au dos de cet album il est écrit To played at maximum volume. Comme tes cris. Devant le 23 Heddon Street. Ou n'importe où. Ils s'entendront de loin pour que tout le monde sache.
Make me baby, make me know you really care, Make me jump into the air.
Tu avais onze ans en 1972... On devrait dans ces années là, mettre de coté un peu d'insouciance pour s'en servir plus tard. Un compte épargne insouciance pour se libérer des poids écrasants qui pèsent parfois sur nos épaules de soi-disant adultes. Pour gommer le plomb dans l'estomac de nos douleurs égocentriques. Pour écarter ces nuages sombres et lourds au-dessus de nos têtes. Pour vider nos veines de ces poisons acides qui nous rongent le coeur...
Keep your 'lectric eye on me babe Put your ray gun to my head Press your space face close to mine, love
Devendra Banhart : Cripple crow
dEUS : Pocket revolution
Sufjan Stevens : Illinois
Broadcast : Tender buttons
Wire : Chairs missing
Animal Collective : Feels
John Cale : Black acetate
Kevin Ayers : Joy of a toy
Robert Wyatt : Rock bottom
The Appartments : A life full of farewells
Sonic Youth : Goo
Smog : A river ain't too much to love
The Auteurs : New wave
Hood : Cabled Linear Traction
Fugazi : The Argument
Stereolab : Mars audiac quintet
The Posies : Amazing disgrace
Bob Dylan : John Wesley Harding
Pavement : Brighten the corners
The National : Alligator
J.L Murat : Lilith